Être le peuple qu’Allah aime : Réflexion sur Sourate Muhammad (47:38)

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Wave Côte D’Ivoire |
En Côte d’Ivoire cependant, la situation est différente. Alors que d’autres plateformes comme Push offrent déjà ce service, Wave n’a toujours pas l’autorisation de proposer la revente de crédit téléphonique. La raison : un blocage des opérateurs mobiles du pays, qui refusent jusqu’ici d’ouvrir l’accès à leurs systèmes.
Face à cette impasse, Wave a décidé de porter l’affaire devant les tribunaux. Le différend opposant la fintech aux trois principaux opérateurs ivoiriens a été examiné en audience publique le 26 mars 2025, en même temps que cinq autres affaires.
Le 11 juin 2025, les juges ont rendu leurs décisions concernant ces cinq dossiers. Mais la plainte de Wave reste la seule dont le verdict n’a pas encore été communiqué, alimentant l’attente des acteurs du secteur.
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ARTCI Côte d'Ivoire |
Dans le même temps, l’Autorité de Régulation des Télécommunications de Côte d’Ivoire (ARTCI) a lancé, le 26 juin 2025, une consultation publique de trente jours sur les conditions d’accès aux API des opérateurs télécoms. L’objectif : définir un cadre transparent pour les plateformes numériques, notamment sur la question sensible de la revente de crédit téléphonique.
La consultation s’est clôturée le 26 juillet 2025, mais ses conclusions n’ont pas encore été publiées.
Aujourd’hui, consommateurs et observateurs attendent avec impatience une clarification. Une décision rapide de l’ARTCI et du tribunal serait cruciale pour :
En clair, le dossier Wave vs opérateurs télécoms est bien plus qu’un simple litige commercial : il pourrait redessiner l’avenir du marché des services numériques en Côte d’Ivoire.
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